vendredi 30 août 2019

Publications et table-ronde


Le 29 août, c'était jour de sortie de deux de mes traductions. Tout d'abord, Dernière Limite, le deuxième volume (sur quatre) de la série Kate Page, par Rick Mofina, aux éditions Alire. Pour vous donner le goût, voici le résumé en quatrième de couverture :
« Désormais installée à Manhattan avec sa fille Grace, Kate Page a fait son nid chez Newslead. Or, malgré les intéressants dossiers qu’on lui confie, Kate est toujours préoccupée par un événement survenu il y a plus de vingt ans : la disparition de sa petite sœur, Vanessa, qui s’est littéralement volatilisée lors du grave accident de voiture qu’elles ont subi dans les Rocheuses.
Kate a pourtant enquêté partout, soumis des clichés de sa sœur – de plus en plus vieillie par ordinateur – aux associations de personnes disparues, à la police et à la presse, y joignant toujours la photo du pendentif représentant un ange que portait Vanessa, identique au sien.
Frustrée par ses recherches infructueuses, Kate sent remonter son angoisse quand Ed Brennan, policier dans une petite ville du nord de l’État de New York, prend contact avec elle pour lui raconter une histoire terrible : le corps carbonisé d’une femme a été découvert dans les décombres d’une grange incendiée, que tous croyaient abandonnée mais qui s’est révélée bizarrement divisée en « cellules pour femmes », s’il faut se fier aux nombreux objets trouvés… dont un pendentif semblable à celui de Kate ! »

La deuxième publication est la réédition en format poche de Toutes les peurs, le deuxième volume (sur trois) de la série Jason Wade, toujours de Rick Mofina, et toujours aux éditions Alire. En voici un avant-goût :
« Contre toute attente – les médecins jugeaient la possibilité plus qu’improbable –, Lee et Maria Colson ont réussi à concevoir un enfant, qu’ils ont prénommé Dylan. Mais le bonheur de la nouvelle famille tourne au cauchemar quand, au matin d’une journée qui s’annonçait sans histoire, leur petit trésor est kidnappé. Et pour ajouter au malheur de Lee, Maria, gravement blessée pendant la fuite des ravisseurs, a sombré dans un coma profond.
Devenu journaliste permanent au Seattle Mirror, Jason Wade est dépêché sur les lieux de l’enlèvement où il constate que Grace Garner, l’inspectrice chargée de l’affaire, dispose d’un seul indice pour lancer son enquête : l’image floue, captée par la caméra de sécurité d’un commerce voisin, de l’arrière d’une fourgonnette sur lequel on distingue un décalque représentant un palmier.
Or, quand le père de Jason, détective privé, apprend à son fils que cette fourgonnette a été impliquée le même jour dans un accident de la route avec délit de fuite et qu’il en connaît le numéro de plaque, Jason comprend qu’il possède une longueur d’avance sur la compétition – et la police ! Avec l’aide de son père, il décide aussitôt de se lancer à la poursuite des ravisseurs. »

Et ce dimanche 1er septembre, à 15h, dans le cadre de la Fête Arc-en-ciel de Québec, je serai présent à la Maison de la Littérature, non pas en tant que traducteur, mais en tant qu'écrivain, pour une table-ronde intitulée Conjuguer écriture et identité LGBTIA2+, en (bonne) compagnie des auteur.e.s Gabrielle Boulianne-Tremblay et Éric Simard, animée par Alex Noël. C'est une table-ronde gratuite, mais vous devez réserver votre place juste ici. Au plaisir de vous y voir !


 


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